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C’est le temps ou on a toutes trop de pommes chez nous, à ne savoir quoi en faire. Je ne comptais pas trop m’aventurer dans les compotes de pommes, les confitures de pommes, les tartes aux pommes ou encore les cakes aux pommes comme l’année dernière mais Zak m’a demandé de lui faire un dessert à base de pommes. Je suis tout de suite allé vers quelque chose de simple, rapide et sain.

  • Pour la croute :
    2 Tasse de flocons d’avoine,
    5 c.a.s d’huile de coco,
    4 c.a.s d’eau,
    2 c.a.s de sirop d’érable.
  • Pour le remplissage :
    4-5 pommes,
    1 c.a.s de cannelle,
    2 c.a.s d’huile de coco.

Mélanger tous les ingrédients de la croute dans un robot et mixer afin de mélanger le tout et de former une croute qui se tient bien.
Entre temps, faites revenir les pommes, l’huile et la cannelle sur une poêle et faire cuire jusqu’à ce qu’elles ramollissent. Laisser refroidir 5 min.
Dans un moule à tarte, former la base à l’aide du mélange formé dans le mixeur. Réserver 1/3 du mélange pour la fin.
Déposer le mélange de pommes sur le fond de tarte.
Saupoudrer le 1/3 de mélange à pâte restante sur le dessus de la tarte.
Enfourner le tout durant 25min, four à 350F.

Sortir du four et servir avec de la crème glacée ou du yaourt ferme.

26 octobre 2021 0 comment
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Tu es chanceuse que tes filles mangent autant de légumes et de fruits! Tes filles ne te compliquent pas la vie côté alimentation! Tes filles mangent de tout, wow! Toutes des phrases que j’entends souvent. C’est vrai tout ça. C’est un peu comme voir la belle facette et oublier qu’il y en a toujours deux.

Quelque chose que je répète souvent : mes filles mangent de tout parce qu’on mange de tout et qu’elle nous voit manger de tout. Par contre, ce n’est pas forcément un automatisme. Rania m’a vu faire et manger des patates douces presque tous les jours depuis qu’elle est bébé et, malgré tout, elle n’aime pas ça. Ce n’est pas blanc ou noir. C’est souvent gris.

Faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais! Cette citation est parfaite pour illustrer ceci. On veut que nos enfants mangent plein de fruits, de légumes et d’aliments sains mais nous ne donnons pas l’exemple. C’est en voyant leur papa manger des branches de céleri avec du humus que Rania, ma fille aînée, y a pris goût. C’est en me regardant manger des poivrons crus qu’Aya, ma plus jeune, a commencé à le faire. Vous comprenez ou je veux en venir? Souvent, les enfants observent leurs parents et reproduisent ce qu’ils font.

Si vous me dites que vous faites déjà ça, j’aurais tendance à vous dire qu’il faudrait essayer d’apprêter le même aliment de manières différentes. Plus haut, je disais qu’Aya aimait beaucoup les poivrons crus. Une fois cuits, elle n’y touche pas. Des exemples comme ça, j’en ai à la tonne mais je vous en cite un pour vous montrer qu’il ne faut pas se décourager. Il faut présenter à un enfant un aliment une dizaine de fois parfois avant qu’il s’y mette et qu’il apprécie. Ai-je déjà précisé qu’il ne faut pas se décourager?

Ce qui peut aider l’enfant à accepter de prendre une portion d’un légume c’est de lui servir avec une trempette ou une sauce. Des légumes gratinés au fromage, ça passe bien. Des brocolis avec de la sauce soya, c’est toujours gagnant chez nous. Des bébés carotte avec humus, c’est bon et encore mieux sur le plan nutritif. Enfin, amusez-vous à présenter tout type de sauce (ketchup, mayonnaise, sauce soya, sauce au fromage, trempette, autre) pour faire apprécier certains légumes à vos tous petits.

Je n’aime pas créer de frustrations alimentaires. Je les laisse choisir ce qu’elles veulent à table mais avec des conditions. Tu veux prendre des nouilles? Aucun problème : prends un ou deux légumes et une salade pour diversifier ton assiette.

Des parents malhonnêtes? Impossible, on ne pourrait jamais faire ça à nos enfants! Sauf une fois, ou deux, en cuisine. Utiliser des recettes qu’ils aiment pour y masquer des légumes. Je suis certaine de ne pas être la seule à faire ça. Des exemples vous dites? Sauce tomate avec courgette et carottes râpées, boulettes de poulet haché avec des brocolis, smoothies avec un légume invité, lasagnes superposées avec des courgettes, etc. À vous de voir en fonction de ce que vos enfants aiment ou n’aiment pas.

Dans la même vague d’idée, camouflez des légumes dans vos smoothies. J’ai toujours fait ça avec les filles et je n’ai jamais voulu leur dire ce que je mettais. Ma réponse a toujours été beaucoup d’amour et de fruits que vous aimez. Les légumes les plus faciles à intégrer dans mes smoothies sont le chou-fleur (cuit et congelé), la courgette (pas besoin de cuisson), les épinards, les concombres et même les carottes. Ni vu, ni connu!

Enfin, vous aurez compris que ça demande beaucoup de patience et de créativité. Aussi, n’oubliez pas que vous êtes très souvent un modèle pour votre enfant.

19 octobre 2021 0 comment
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Avant de passer au vif du sujet et aux quelques conseils que j’aurais à vous donner aujourd’hui, permettez-moi de vous raconter ma petite histoire. Plus jeune, j’habitais au Maroc et la transition que j’ai dû faire pour m’installer à Montréal a, selon moi, tout changé. Mon environnement était chamboulé, j’étais déstabilisée et intimidée par tout ce qui m’entourait. Je ne me souviens pas avoir eu un problème de confiance en moi avant de vivre cette transition. Je me sentais mal à l’aise dans toute sorte de situation, inconfortable dans cette nouvelle école secondaire et même pas en mesure de commander un verre d’eau au restaurant.

Manquer de confiance nous amène à manquer des opportunités ou des bons moments. Il m’a fallu du temps et un passage à l’action afin de m’en défaire. Et si je me faisais rejeter? Et si je n’étais pas assez à la hauteur? Que pense-t-on de moi? Toutes des questions qui se répètent en boucle dans ma tête. La peur entretient ce manque de confiance.

Avant tout, il faut se connaître. C’est un travail d’introspection, c’est être conscient de ses forces et de ses faiblesses, c’est savoir ce qui nous anime, ce qui nous définit, ce qui nous démarque. Ceci nous permettra déjà de nous retrouver dans des environnements ou on se sent plus à l’aise, que ce soit au travail ou dans la vie quotidienne. Se connaître nous poussera à nous aimer tel que l’on est, avec tous nos plus et toutes nos imperfections. Quand j’étais mal dans ma peau, je me surprenais à jouer un rôle, à faire comme si je ressemblais à tel groupe pour me sentir acceptée. Je me souviens que c’était tout le temps un stress pour moi de sortir avec les amies de ma cousine par exemple. Je les regardais et je me sentais toute petite à côté. Finalement, je me rends compte qu’il faut lâcher prise, qu’une fois qu’on se connaît et qu’on s’accepte, on aime qui on est. On n’a plus besoin de jouer de rôle, cette personne que nous ne sommes pas vraiment. Être authentique est libérateur, ça permet automatiquement de gagner de la confiance en soi et de remettre le « focus » sur nous et moins sur ce que pensent les autres de nous. Dans la même veine d’idées, je remarque que je me sens plus en confiance lorsque je porte des vêtements qui m’avantagent et dans lesquels je me sens moi-même et confortable. Je pense que ça rejoint beaucoup le point sur l’authenticité.

Un autre point important qui semble si évident c’est d’arrêter de se comparer. D’abord, parce que ça nous dévalorise et ensuite, parce qu’on n’a pas une vue d’ensemble. J’entends tellement d’histoires de personnes qui en envient d’autres sans forcément savoir tout ce qui se passe réellement dans leur vie. C’est encore plus le cas à l’air des réseaux sociaux ou la comparaison est encore plus facile mais où on oublie que les gens ne montrent que ce qu’ils veulent et qu’il s’agit simplement de petites parcelles de leur vie. Au lieu de se concentrer sur la vie idéalisée des autres, mieux vaut se concentrer sur la nôtre. Chacun vit ses combats, ses bonheurs, ses moments plus sombres et ses moments de joie. À toi de valoriser ce que tu aimes dans la tienne et de travailler à améliorer ce qui te plait moins.

Au début de l’article, je parlais du fait qu’il fallait passer à l’action. Par-là, je veux dire qu’il faut se lancer des petits défis. Comme je disais au début de l’article, je n’étais même pas capable de demander un verre d’eau à un serveur. Mes parents ont commencé à me lancer des mini challenges me poussant à sortir de ma zone de confort. Exemple : ce soir, on sort au resto et c’est toi qui vas passer la commande. Ça m’obligeait à m’exprimer, à parler, à voir quelqu’un dans les yeux. Ça peut me semble banal maintenant mais ce sont des gestes comme ça qui m’ont aidé à gagner confiance en moi, petit à petit. Je me sentais fière d’avoir pu accomplir ce défi et je passais à un autre. Ce simple geste de réussir à passer une commande peut être considéré comme un accomplissement qui nous apprend des choses sur nous, il nous révèle des qualités et des compétences qu’on a pu mettre en œuvre pour réussir cette tâche. Ça m’a pris des années pour être totalement à l’aise. Un travail de la part de mes parents comme mentionné plus haut, ma volonté mais aussi l’aide de mon entourage qui compte pour beaucoup et par entourage, je vise particulièrement Zak, mon mari, qui m’a énormément aidé à bâtir des fondations. Il ne faut pas se mettre de pression ni se créer de stress additionnel, mais le fait d’être curieux, de sortir de sa zone de confort, de voir ce qui se cache derrière ce mur qui nous bloque va nous permettre de découvrir des opportunités, de vivre des expériences, des émotions et des situations qui nous font évoluer et qui nous transforment.

Aider les autres m’a grandement aidé. C’est peut-être cliché de dire ça mais c’est toujours le cas pour moi, jusqu’à aujourd’hui. Je suis à la base très empathique et j’ai l’impression que c’est un devoir d’aider l’autre à surmonter peu importe l’épreuve qu’il vit. Peut-être parce que j’ai moi-même vécu des moments très difficiles et que je peux facilement me mettre à la place de certaines personnes et ressentir ce besoin qu’on leur tende l’oreille ou la main, peu importe la situation. D’un côté, on aide autrui et par la même occasion, on se sent bien. Il y a ce sentiment d’accomplissement qui peut également supporter la confiance en soi. Si tu penses que c’est quelque chose qui peut t’aider, penses à ce que tu pourrais accomplir en ce sens.

 

Ce n’est pas un chemin facile, l’important c’est d’être déterminé et de persévérer. J’ai aussi tendance à dire que la confiance et l’évolution de soi est quelque chose qui ne s’arrête pas. On est en constante croissance, évolution. On travaille toujours pour une meilleure version de nous-même.

Note: considères moi comme ton amie virtuelle. À bon entendeur…

18 septembre 2021 4 comments
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C’est une recette que je fais avec des poitrines de poulet que je coupe en lanières. Je la fais au four d’habitude mais j’ai également essayé de la faire dans la friteuse et ça marche très bien. Voici ce qu’il faut pour deux poitrines de poulet.

Marinade de poulet

  • 1 c.s de moutarde de dijon,
  • 1/4kg de poulet,
  • 2 c.s de fromage à la crème,
  • sel, poivre.

Instructions

Découper les poitrines et bien mélanger mélanger le tout afin qu’elles soient bien enrobées avec le mélange.
Tremper les dans du panko ou de la chapelure.
Déposer les lanières sur une plaque qui va au four et les badigeonner d’huile.
Enfourner à 360F pendant 30min.

Sauce

  • 2 c.s de moutarde ancienne,
  • 1 c.s de miel,
  • 1 c.c de paprika fumé,
  • 1 c.s d’eau.
20 août 2021 0 comment
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