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J’ai ma routine bien établie et mon sport c’est, la plupart du temps, une activité que je fais le matin. Par contre, pendant le mois de ramadan, c’est quelque chose qu’il faut ajuster.

L’année dernière, j’avais réussi à m’établir ma routine ramadan qui me permettait de m’entrainer après le iftar. Je ne pourrais pas faire la même chose cette année vu que l’année dernière j’ai passé ramadan au Maroc. En gros, ramadan avec deux petites c’est tout nouveau pour moi et j’ai besoin de m’adapter à cette nouvelle réalité.

Cette réalité est différente pour chacun(e) d’entre nous : des enfants, le confinement, du boulot, la prière, etc. C’est pour cette raison que mon premier conseil est le suivant : donnes toi quelques jours pour t’adapter, pour voir comment ton corps va réagir les premiers jours, comment tu vas te sentir, pour voir de quoi auront l’air tes journées. Certes, on continue de bouger car ça fait du bien au corps et à l’esprit alors on se fait des petites séances YOGA assez light et on se prend une marche pour respirer.

Ensuite, selon moi, Ramadan n’est pas vraiment le mois ou tu vas pousser tes limites au maximum ni le mois ou tu vas te fixer de gros objectifs coté entrainement. On va y aller, chacun de nous, en fonction de nos horaires et de ce qui nous convient le mieux.

Il y a deux ans, quand Rania était bébé, je m’étais établie une routine workout le soir. Je prends le temps de bien manger durant l’heure du iftar, de faire ma prière, de faire ce qu’il y a à faire (m’occuper des enfants, passer du temps en famille, jouer, ranger, télé, etc.) et puis quand elle allait dormir, c’est là que je m’activais (et la tu peux même y aller plus intense ou utiliser des poids). Franchement, ça me rappelle de bons souvenirs, j’aimais beaucoup cette routine. Ça me donnait le temps de digérer, de boire ou de prendre une collation entre temps aussi et de boire (toujours, toujours). Et puis dès que je finissais mon entrainement, je prenais un petit repas / post workout / suhour et donc c’était juste parfait! Hop, au lit.

Je souhaite vraiment pouvoir avoir cette routine cette année aussi.

 

Sinon, il y à d’autres options comme ce que plusieurs font : s’entrainer avant le iftar. Je me souviens que, plus jeune, mon père allait toujours courir 1h environ avant l’heure du repas. À la fin de la journée, il est plutôt conseillé de faire ce genre de workout justement : quelque chose qui cible surtout votre cardio et donc une course à pieds, une balade à vélo ou à entrainement court d’environ 30min qui ne nécessite pas d’intensité élevé. On brule les calories, on se douche et après ça, je vous garantis que votre smoothie n’aura jamais gouté aussi bon (à l’heure de la rupture du jeune).

UPDATE (2020/2021): c’est de cette manière que je m’y suis prise en 2020. Je m’entraînais avant le Iftar en faisant des workouts de 30min en moyenne. Je donnais toute l’énergie qu’il me restait car je savais qu’à peine quelques minutes après, j’allais être en mesure de manger et boire. Je souhaite établir la même routine cette année, en 2021.

Enfin, il y a aussi ceux qui s’entrainent juste après le iftar mais, personnellement, c’est quelque chose que je ne pourrais jamais faire. Il faut être en mesure de se contenter d’un smoothie (très nourrissant) ou d’un toast comme si tu prenais un petit déj ou un pré-workout régulier et de te lever de table pour t’entrainer quelques minutes après pour te remettre à table et manger ton repas. Ça ne correspond pas du tout à mon rythme de vie. Peut-être que si je vivais seule, ça aurait été autre chose.

 

Lequel penses-tu pouvoir adopter?

Ne te mets jamais de pression. Écoutes ton corps. 

 

Photo par Tsikimamy Photographie

25 avril 2020 0 comment
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La motivation est quelque chose qui vient chercher différemment chacune de nous. Ce que je dis souvent et ce qu’on entend communément c’est que le plus dur est de commencer. Une fois que c’est fait, la motivation vient plus facilement c’est donc souvent le résultat de l’action qu’on a posé et non pas la cause. Bizarre à dire quand même parce que d’habitude on croit qu’on a juste besoin de motivation pour commencer mais quand on y pense on se rend compte que notre pic de motivation arrive après qu’on ait commencé le projet qu’on a en tête.

Ce qui nous importe donc c’est ce premier pas qui a l’air si compliqué à atteindre. Comment y arriver alors?

Ce qui m’aide le plus, c’est prendre des notes, écrire quoi faire, quand le faire. Par exemple, pour mes entrainements, je les prévois en avance. D’habitude, je planifie ma semaine : voici les journées ou je prévois m’entrainer, voici les types d’entrainements que je compte faire, voici les journées ou je prends une pause. J’inscris tout ça sur mon agenda accompagné des horaires. Comme ça, je n’aurais pas d’excuse. Si tu commences ta journée sans rien planifier, tu vas constamment et surement te dire « j’espère trouver le temps et la force pour m’entrainer plus tard ».  Ce plus tard qui n’arrivera jamais.

Je trouve d’ailleurs que cette méthodologie s’applique à tous les vecteurs de notre vie quotidienne.

De cette manière, on n’a plus besoin d’attendre d’être motivé. On a un plan et on s’y tient.

Dans mon cas, mes entraînements ne nécessitent même plus de motivation. Il s’agit à présent de rituels qui occupent une place dans ma vie quasiment sur une base quotidienne. Chaque matin, je me lève, j’enfile mes vêtements de sport et je vais m’entraîner. Je n’y pense même pas, je n’ai même pas besoin de prendre de décision.

Ce que je remarque, c’est que la plupart des gens cherchent le meilleur moment pour commencer à s’entrainer. Comme je disais, le plus dur est de commencer. Il faudrait donc faire en sorte de rendre cette étape plus douce. Moi, je le vois comme un moment que je m’accorde.

Je me lève, je me prépare ma boisson et je sors. C’est automatique.

Ce que je trouve qui aide aussi, c’est de faire quelque chose qu’on aime. Reprenons l’exemple du sport, trouves une activité que tu aimes et dans laquelle tu peux évoluer. Ça t’aidera à t’y mettre plus facilement et a resté motivée pour voir cette évolution. Encore mieux, tu te sentiras surement contente, heureuse de faire cette activité que tu aimes tant et dans laquelle tu remarques une certaine évolution. Pas besoin de dire que c’est un facteur additionnel qui te permettra de t’y attacher encore plus à cette nouvelle routine que tu es entrain de t’instaurer.

On peut facilement être distraits certes mais ton but quotidien c’est de t’instaurer une certaine discipline pour atteindre tes objectifs.

28 mars 2020 0 comment
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Pour une maman active comme moi, je vous assure qu’on a envie de reprendre ses activités physiques dès la première semaine après l’accouchement. Ça serait trop tôt, je sais, mais c’est quelque chose qui me manque énormément. Alors c’est quand le moment idéal pour s’y remettre? C’est LA question que toutes les nouvelles mamans se posent, les plus actives comme les moins sportives. 

La plupart des femmes se disent que 6 semaines, c’est la norme. Je ne sais pas qui en a décidé ainsi. Plusieurs attendent la première visite chez le gynécologue pour avoir le fameux GO! 

Pour ma part, j’ai donc décidé de me laisser guider par les kinésiologues cliniciennes de chez Bougeotte et Placotines. Elles m’en apprennent beaucoup sur le sujet, me guident dans ma récupération et me sortent de ma routine de nouvelle maman. 

Dans ce centre, il est possible d’intégrer le cours que je suis actuellement dès la 2èmesemaine PP (entre 2 et 10 semaines). Ce cours se nomme « premiers pas de maman » et vise surtout la réeducation du plancher pelvien et la guérison du périnée. Les cours durent 1h et s’échelonnent sur 8 semaines. Voici quelques raisons qui m’ont poussé à rejoindre les mamans de Bougeotte et Placotine :

  1. Préparer mon corps en faisant des exercices de réadaptation : le fait qu’on soit bien encadrés lors de ces cours me rassure énormément. Les premiers exercices devraient servir à réhabiliter le plancher pelvien et les muscles transverses (muscles profonds des abdominaux.
  2. Reprendre d’une manière sécuritaire : On nous apprend à « bien » bouger et scrutent nos mouvements pour s’assurer qu’on ne risque aucune blessure, ni sur le court terme ni sur le long terme. On ne l’appelle pas 4èmetrimestre pour rien : tous les muscles qui stabilisent notre bassin et notre tronc ont été étirés et/ou affaiblis. Lors des deux premières séances, je me sentais faible en faisant les exercices proposés mais en les refaisant chez moi quasi-quotidiennement, je remarque une belle progression et ça me rassure.
  3. Se motiver avec une communauté qui passe par la même chose que nous. En tant que nouvelle maman, on le sait que ce n’est pas toujours facile, qu’on n’a pas forcément confiance en nous, qu’on a de la difficulté à faire des activités ou de voir du monde avec un nouveau-né. Ce cours, c’est l’occasion parfaite pour s’obliger à se sortir de sa routine, à rencontrer des mamans, à bouger et à se retrouver dans un environnement sans tabous. Certains bébés pleurent pendant les cours, d’autres dorment. Parfois les mamans allaitent en plein milieu d’un exercice et à d’autres moments, la monitrice nous aide en portant notre bébé, ça nous laisse un moment de répits et l’occasion de nous concentrer sur soi.  
  4. Les suivis : en post-natal, la seule différence entre une personne qui avait l’habitude d’être active et une autre plutôt sédentaire est l’évolution. La personne active évoluera plus rapidement. Vu que les personnes qui nous encadrent sont des professionnels, on a l’occasion de toutes évoluer dans un environnement sécuritaire et d’avoir une bonne base avant de se lancer dans quelque chose de plus « intense ». En nous observant, les kinésiologues sont capables de faire des suivis de notre évolution et de répondre proprement au besoin de chaque nouvelle maman. 

J’entame ma 3èmesemaine chez Bougeotte et Placotine. Vous pouvez suivre mon évolution à travers mes réseaux sociaux. Je vous laisse le site web ici si vous êtes curieuses. 

28 février 2019 0 comment
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Dans la liste des éléments qui participent à l’amélioration de la qualité de notre peau, on retrouve le sport. Combien de fois je remarque ce petit teint de pêche que j’ai tout de suite après mon entraînement. La transpiration aide à éliminer les impuretés et les cellules mortes de notre épiderme qui sont évacués à travers les pores. Ça tombe bien en plus parce que dans la vie, je ne suis pas une personne qui transpire beaucoup alors je suis trop contente quand je me surprends à transpirer pendant mes entraînements.

Pour faire durer ce petit teint bonne mine et ne pas obstruer nos pores, il faut prendre soin de notre peau avant, pendant et après l’entraînement.
Voici quelques règles à suivre.

Avant l’entrainement 

Ce n’est pas discutable : il faut se nettoyer la peau. Les toxines sont éliminées à travers les pores et il ne faut pas leur barrer le chemin. Mis à part la transpiration, nos pores sont très dilatés durant l’activité sportive. À chaque fois, j’imagine ma peau qui absorbe le maquillage et ça me fait tellement peur que j’en fais une obsession! Impossible pour moi de m’entrainer avec une peau maquillée. Alors je prends le soin (et le temps) de me démaquiller avec une huile que je masse bien et que je retire à l’aide d’un coton ou d’un linge humide. Ensuite, j’applique un tonique pour m’assurer qu’il ne reste aucun résidu de maquillage sur mon visage. Je m’hydrate ensuite le visage avec une crème assez légère (un gel ferait l’affaire) qui ne viendra pas encombrer mes pores.

Produits (s’applique seulement si je porte du maquillage) :
Huile démaquillante : je n’ai pas de favorite à transporter, je prends n’importe quelle huile que j’ai en petit format.
Tonique : format mini Thayers.
Hydratation : Crème légère hydratante de Jowaé car je la trouve assez légère pour ne pas obstruer mes pores durant l’entrainement ou parfois juste un sérum ou une huile de jojoba.

Pendant l’entrainement 

Là je ne vous demande pas d’appliquer des soins mais plutôt de prendre soin de votre peau autrement. D’abord, évitez de toucher votre peau durant l’entrainement. Les machines sont sales (oui, peu importe le gym que vous fréquentez) et peu importe où vous touchez, il y aura des bactéries. Vous n’avez donc pas envie de vous mettre ça sur le visage. Ensuite, hydratez-vous! Et par là, je veux dire, buvez de l’eau. Dans mon cas je prends des petites gorgées d’eau à chaque fois que j’en ressens le besoin. Si dans votre cas vous n’avez pas soif, veillez tout de même à boire chaque 20min ainsi qu’à la fin de votre séance.

Après l’entrainement 

Une petite douche (avec des jets froids vers la fin) pour éliminer la sueur est suffisante pour moi. Je ne me lave pas les cheveux tous les jours. Pour mon visage, j’utilise un tonique pour nettoyer ma peau et retirer toute la sueur qui a pu s’y accumuler. J’enchaine avec un sérum et une crème.

Produits
Douche : gel concentré mini Yves Rocher (100mL = 40 DOUCHES!).
Tonique : Thayers.
Hydratation : huile de jojoba  (vu que je ne traine qu’une huile avec moi) + crème hydratante du moment (ça dépend du temps qu’il fait et des besoins de ma peau).

30 octobre 2018 0 comment
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